Par Suzy Wong
Le survivalisme, quand j’ai vu des reportages là-dessus, je voyais ça d’un bien mauvais œil. En fait, ça me faisait rire en titi tellement certains adeptes y voyaient des complots à venir partout. Disons que dans ces quelques émissions un peu étranges visionnées, la plupart des gens que j’y ai vus avaient tous en tête de folles idées de se bâtir une armée et de se faire des bunkers sous terre pour survivre à une bombe nucléaire. Ces survivors, franchement, ce n'était pas ma tasse de thé!
Le survivalisme, quand j’ai vu des reportages là-dessus, je voyais ça d’un bien mauvais œil. En fait, ça me faisait rire en titi tellement certains adeptes y voyaient des complots à venir partout. Disons que dans ces quelques émissions un peu étranges visionnées, la plupart des gens que j’y ai vus avaient tous en tête de folles idées de se bâtir une armée et de se faire des bunkers sous terre pour survivre à une bombe nucléaire. Ces survivors, franchement, ce n'était pas ma tasse de thé!
En réalité, le
survivalisme, selon ce que j’en ai appris avec l’ami François Laurier, cet
homme toujours capable d’imaginer une potentielle crise économique ou même une
pénurie de vivres par manque d’approvisionnement à cause de n’importe quelles
occasions que moi je suis peu encline à concevoir, c’est surtout et simplement être
en mesure de se préparer pour tout genre de situation, d’être capable d’autonomie
en cas de catastrophe naturelle ou géopolitique. En gros, c’est d’avoir quelques trucs de
survie pour « toffer » un bout difficile et non de survivre à une fin du monde!
Donc, vu ainsi, moi, le survivalisme, j’achète (tranquillement)!
Si je pense à mon pater,
je ne sais pas si on pouvait réellement appeler ça du survivalisme, il a
toujours fait des provisions et stocké du cash en cas d’une troisième guerre mondiale
(qui n’aura jamais eu lieu de son vivant) ou de crise économique. Moi, dans une
plus jeune jeunesse où la naïveté était reine, je le trouvais un peu capoté de
se faire un inventaire de produits de premiers soins et de bouffe impérissable dans
le sous-sol. Mais aujourd’hui, après
avoir vécu deux belles catastrophes naturelles (le déluge du Saguenay où j’ai
perdu l’électricité et l’eau une semaine durant puis ensuite la micro-rafale de
2013 dans mon quartier qui nous a fait perdre le courant et la ligne
téléphonique cinq jours), je trouve un peu plus de bon sens à ce réflexe que le
père avait. À ce réflexe que mon co-blogueur François Laurier (mon
survivaliste pas trop fataliste préféré!) semble posséder depuis belle lurette.
Bon, aussi bien vous le dire tout de suite, icitte, moé, je ne serai pas pantoute la spécialiste des sujets tels que «Comment débuter une préparation survivaliste» ou encore «Comment se préparer à une épidémie virale?». Dans ce blogue, moi, parce que j'ai crissement peur que les sceptiques des changements climatiques soient dans un déni total; parce que j'ai angoisse que mon fils n'ait pas la chance de voir un jour grandir ses petits-enfants sur la même terre que j'ai connue, pour la préserver un peu, je serai plus l'écolo&écono ou la rabat-joie de service. Donc, mon auto-suffisance à moi, ce ne sera pas tant pour survivre à une catastrophe mais plutôt pour l'ÉVITER.
Le plus convaincu de nous deux à propos du survivalisme, ça reste et restera toujours François Laurier qui travaille fort à être autonome si inondation il y a, si une coupure d'électricité généralisée il y a, si un tremblement de terre il y a, si une cyberattaque, voire une crise économique, il y a.
En gros, François ne sait pas précisément ce qu'il anticipe, mais il est/veut être prêt. Enfin, il aime beaucoup l'idée qu'il serait prêt si un tel événement ci-haut mentionné survenait. Il vit sa préparation comme un mode de vie quotidien, il n’est pas du tout du genre à capoter avec ça. Oui, il fait des réserves, mais pas pour une décennie. Il ne se ruine pas avec des approvisionnements de fou.
Son but ultime, dans les prochaines années, ce n’est pas de survivre à une apocalypse. Il veut cultiver ses fruits et légumes, développer une certaine autosuffisance et une solidarité avec ses voisins. Bref, François c'est un survivaliste très modéré, un survivaliste pas fataliste. ;)
Le plus convaincu de nous deux à propos du survivalisme, ça reste et restera toujours François Laurier qui travaille fort à être autonome si inondation il y a, si une coupure d'électricité généralisée il y a, si un tremblement de terre il y a, si une cyberattaque, voire une crise économique, il y a.
En gros, François ne sait pas précisément ce qu'il anticipe, mais il est/veut être prêt. Enfin, il aime beaucoup l'idée qu'il serait prêt si un tel événement ci-haut mentionné survenait. Il vit sa préparation comme un mode de vie quotidien, il n’est pas du tout du genre à capoter avec ça. Oui, il fait des réserves, mais pas pour une décennie. Il ne se ruine pas avec des approvisionnements de fou.
Son but ultime, dans les prochaines années, ce n’est pas de survivre à une apocalypse. Il veut cultiver ses fruits et légumes, développer une certaine autosuffisance et une solidarité avec ses voisins. Bref, François c'est un survivaliste très modéré, un survivaliste pas fataliste. ;)
Pour nous joindre : lesnouveauxsurvivalistes@gmail.com
Pas nécessairement un survivaliste modéré mais très certainement, prévoyant:-)
RépondreEffacerAssez modéré pour que tu ne me fasses pas peur. Lolll
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